Humans after all?
lundi 03 juillet 2023
The challenges of external validity, towards an interdisciplinary discussion?
Plongée en pleine guerre froide avec la Realpolitik de l'évaluation, des idées pour professionnaliser l'évaluation, et oldiesbutgoodies, de quoi se demander ce que les évaluateurs et les évaluatrices défendent dans leur métier... C'est le sommaire de ce numéro 1.
Ouvrage collectif rĂ©digĂ© sous la direction de Markus Palenberg et Arne Paulson1, ce livre vise Ă rĂ©pondre Ă deux questions qui animent depuis longtemps la communautĂ© des Ă©valuateurs/trices : quâest-ce qui explique le dĂ©calage frĂ©quemment observĂ© entre demande et offre dâĂ©valuation et quelles solutions peuvent ĂȘtre mises en Ćuvre pour rĂ©duire cet Ă©cart ?
Le premier mĂ©rite de lâouvrage est de fournir une description fine des principaux facteurs expliquant les relations souvent dĂ©cevantes entre offre et demande dâĂ©valuation. Si les explications sont souvent connues (dĂ©calage temporel entre la rĂ©alisation des Ă©valuations et la prise de dĂ©cision, place centrale des compĂ©tences des commanditaires et des Ă©quipes dâĂ©valuation, manque de ressourcesâŠ), elles sont mises en lumiĂšre dans des contextes nationaux variĂ©s (France, Irlande, Italie, NorvĂšgeâŠ).
Au risque dâĂȘtre accusĂ© de chauvinisme, ce qui serait presque entendable pour un livre sur la Realpolitik, on recommande la lecture du chapitre de notre collĂšgue Agathe Devaux-Spatarakis sur lâessor de la mĂ©thode expĂ©rimentale par assignation alĂ©atoire en France, qui permet dâillustrer un cas de double « piratage » des Ă©valuations, par lâoffre et la demande.
Plusieurs pistes sont mises en avant pour faciliter le dialogue entre offre et demande dâĂ©valuation. Nous dĂ©crivons briĂšvement deux des solutions qui nous ont le plus intĂ©ressĂ©es.
La premiĂšre consiste Ă investir spĂ©cifiquement dans lâorganisation de lâĂ©valuation, en confiant lâanimation du dialogue entre offre et demande dâĂ©valuation Ă un acteur intermĂ©diaire. Câest le rĂŽle qui a Ă©tĂ© confiĂ© Ă lâagence nationale de la recherche en NorvĂšge, dans le cadre de lâĂ©valuation de la rĂ©forme des soins de santĂ© initiĂ©e en 2012 et qui a permis une meilleure comprĂ©hension des attentes des diffĂ©rentes parties (le ministĂšre de la SantĂ© et les centres de recherche en charge de lâĂ©valuation) (voir le chapitre 6 dâOlaf Rieper2).
La deuxiĂšme piste nous invite Ă rĂ©flĂ©chir Ă la faible place accordĂ©e aux sciences sociales en Ă©valuation (voir le chapitre 10 de Sebastian Lemire, Christina Christie et Steffen Bohni Nielsen3). Ces auteurs/rices militent ainsi pour renforcer lâintĂ©gration des thĂ©ories des sciences sociales dans les thĂ©ories des programmes et ainsi promouvoir une approche dâimbrication thĂ©orique (theory knitting):
La position que nous dĂ©fendons est que nous devons nous diriger plus fermement vers une imbrication des thĂ©ories â en ayant recours de façon transparente et systĂ©matique aux thĂ©ories des sciences sociales dans la pratique de l'Ă©valuation. En agissant ainsi, nous rendons nos thĂ©ories de programmes plus spĂ©cifiques et renforçons leur capacitĂ© Ă ĂȘtre testĂ©es et gĂ©nĂ©ralisĂ©es. In fine, nous favorisons le recueil de preuves crĂ©dibles et exploitables.
Comme le souligne en conclusion R. Pablo Guerrero4, cet ouvrage rĂ©vĂšle les failles observĂ©es au sein de la communautĂ© de l'Ă©valuation entre offre et demande et donne Ă voir deux mondes qui se connaissent et sâignorent Ă la fois :
Que ce soit du cĂŽtĂ© de la demande ou de lâoffre, on observe des intĂ©rĂȘts spĂ©cifiques. En lâabsence dâune comprĂ©hension claire des objectifs sous-jacents de chaque groupe, la demande et l'offre ne pourront se recouper que dans un espace abstrait.
Ce constat soulĂšve deux questions pour lâavenir :
Lire la table des matiĂšres et la 4e de couverture ici.
Palenberg, M. Paulson, A. (ed.) (2020). The Realpolitik of Evaluation. Why Demand and Supply Rarely Intersect. Routledge.
Les « compĂ©tences » et la « professionnalisation » font lâobjet de conversations et de recherche dans les sphĂšres dâĂ©valuation dĂ©jĂ depuis un certain moment. Vous avez peut-ĂȘtre par ailleurs remarquĂ© la crĂ©ation du nouveau groupe de « reconnaissance professionnelle des compĂ©tences » Ă la SFE, qui sâest rĂ©uni pour la premiĂšre fois le 14 octobre 2020.
Cela semble ainsi un moment propice pour discuter de lâarticle publiĂ© par BenoĂźt Gauthier, Une analyse engagĂ©e de la professionnalisation des pratiques dâĂ©valuation. « EngagĂ©e », en effet, car M. Gauthier considĂšre que la professionnalisation permet de contribuer Ă une meilleure performance de lâĂ©valuation et de protĂ©ger le public, qui autrement « nâest pas en mesure de juger de la qualitĂ© de cette performance » (p.130).
Il prĂ©cise que la professionnalisation dâun mĂ©tier comporte de nombreux « ingrĂ©dients », dont, selon lui, cinq mĂ©canismes clĂ©s, qui peuvent fournir un bon moyen de rendre compte de la professionnalisation dans diffĂ©rents pays. La Figure ci-dessous rĂ©sume notre interprĂ©tation de lâĂ©tat actuel des mĂ©canismes de la professionnalisation en France : sâil existe dĂ©jĂ des lignes directrices Ă©thiques, des normes et des formations universitaires (et ce depuis prĂšs plus dâune quinzaine dâannĂ©es), les rĂ©fĂ©rentiels de compĂ©tences ne sont pas encore formalisĂ©s, ni un moyen de reconnaĂźtre une conduite professionnelle.
à quoi ces deux derniers mécanismes peuvent-il servir ?
Un rĂ©fĂ©rentiel de compĂ©tences permet, entre autres, aux Ă©valuateurs/rices dâavoir une feuille de route de compĂ©tences quâils doivent entretenir et amĂ©liorer tout le long de leur carriĂšre.
Le moyen de reconnaĂźtre une conduite professionnelle va encore plus loin, dans la mesure oĂč il encadre la conduite professionnelle et permet mĂȘme de sanctionner les praticien·nes si nĂ©cessaire. Nous avons dĂ©jĂ entendu parler de sanctions, souvent trĂšs mĂ©diatisĂ©es, que les conseils de discipline peuvent infliger lors dâune faute professionnelle grave : de dentistes qui massacrent leurs patients ou des chirurgiens qui rĂ©alisent des opĂ©rations mĂ©dicalement non-nĂ©cessaires ⊠si ces fautes entraĂźnent souvent des poursuites judiciaires, les conseils de discipline existent Ă©galement pour faire en sorte que ces professionnels ne puissent plus exercer leur mĂ©tier sur le territoire français. Bon grĂ©, mal grĂ©, nos Ă©valuations ont rarement des effets aussi immĂ©diats sur nos concitoyens qu'une opĂ©ration ratĂ©e, mais il ne faut pas sous-estimer lâimpact dâune « mauvaise » Ă©valuation ou d'un mauvais professionnel, et les effets que cela peut entrainer sur notre rĂ©putation ou sur la façon dont les acteurs voient lâĂ©valuation par la suite.
De toute façon, il nâest pas question de simplement « acter » ces mĂ©canismes : chaque mĂ©canisme peut ĂȘtre trĂšs conflictuel, dans la mesure oĂč il entraĂźne nĂ©cessairement un travail de normalisation au profit ou dĂ©triment de certain·es - comment qualifierons-nous une « bonne » ou « mauvaise » Ă©valuation, par exemple ? Câest pour cette raison que M. Gauthier conclut son article avec un exposĂ© des nombreux bĂ©nĂ©fices et risques de la professionnalisation : lâamĂ©lioration de la formation en Ă©valuation et des connaissances, permettant aux professionnels Ă©mergents de trouver plus facilement une place dans la profession ; et Ă lâinverse, lâexclusion de praticiens talentueux si des barriĂšres Ă lâentrĂ©e deviennent excessives.
En somme, les discussions sur la professionnalisation sont aussi riches quâelles sont sources de tension. Nous restons toutefois optimistes et espĂ©rons ces dĂ©marches permettront de tirer tout le monde vers le haut.
Voir aussi lâentretien de Colette Lanson avec BenoĂźt Gauthier concernant les pratiques dâĂ©valuation au Canada.
Gauthier, B. (2020). Une analyse engagĂ©e de la professionnalisation des pratiques dâĂ©valuation. 11. doi (librement tĂ©lĂ©chargeable)
Pensez-vous qu'une Ă©valuation doit apporter une vision objective et factuelle des situations analysĂ©es, ou au contraire qu'elle doit dĂ©fendre certains intĂ©rĂȘts, et par consĂ©quent assumer une dimension de plaidoyer ? Il y a 20 ans dĂ©jĂ , Jennifer Greene nous invitait Ă ne pas se mentir et Ă se rendre compte que toute Ă©valuation dĂ©fendait une cause, quâelle soit explicite ou implicite. C'est en ce sens que Greene Ă©crit que la dimension de plaidoyer (advocacy) est inĂ©vitable dans une Ă©valuation. Bien consciente que cette assertion dĂ©routante puisse ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une hĂ©rĂ©sie par bon nombre dâĂ©valuateur/rices, son raisonnement peut aider un certain nombre de lecteurs Ă se forger une opinion sur la question.
En effet, pour elle, lâensemble des choix que nous faisons au cours du processus Ă©valuatif sont imprĂ©gnĂ©s de valeursâŻ: le choix des questions, les choix des critĂšres, le choix des points de vue Ă collecter, le choix des mĂ©thodes, le choix des personnes qui participent au processus, et ainsi de suite. Greene souhaite ainsi dĂ©samorcer la confusion qui peut naĂźtre du mot plaidoyer, qui nâest pas selon lâautrice le fait dâĂȘtre ami ou ennemi dâune politique publique, ni de biaiser son analyse en consĂ©quence.
ReconnaĂźtre la dimension de plaidoyer de nos Ă©valuations, câest accepter dâĂȘtre les «âŻdĂ©fenseurs dâune causeâŻÂ», que Greene nous enjoint de prĂ©ciser en rĂ©pondant aux questions suivantesâŻ: quels intĂ©rĂȘts et valeurs lâĂ©valuation met-elle en avantâŻ? Et plus concrĂštementâŻ: Ă quelles questions et Ă quels critĂšres jugeront nous la politique, et lorsque nous y rĂ©pondront, que dĂ©fendons-nous, et pour quiâŻ? Lâautrice souligne que la rĂ©ponse Ă ces questions devrait ĂȘtre explicite dans les Ă©valuations.
Parmi ses exemples, Greene Ă©voque dans lâarticle une Ă©valuation rĂ©alisĂ©e dans un contexte marquĂ© par des conflits de valeurs importants. Le principal sujet de discorde est le changement dâun programme qui passe de deux niveaux prĂ©paratoires Ă l'universitĂ© (un niveau Ă©levĂ© et un niveau moyen) Ă un seul, dans lequel sont regroupĂ©s des Ă©tudiants ayant des niveaux de rĂ©ussite variĂ©s. Les opposants Ă ce changement sont convaincus que les Ă©tudiants ayant un niveau Ă©levĂ© n'apprendront pas assez pour rĂ©ussir Ă entrer dans des universitĂ©s sĂ©lectives. Ă lâinverse, les partisans de ce changement soulignent les avantages Ă©ducatifs et sociaux que retireront les Ă©tudiants en travaillant avec davantage de diversitĂ© raciale, ethnique et de genre dans leur rĂ©ussite.
Positionner l'Ă©valuateur comme Ă©tant dĂ©sengagĂ© et Ă©loignĂ© des conflits de valeurs dans ce contexte, comme prĂ©tendre que lâunique valeur qui guide lâĂ©valuation est l'objectivitĂ©, reviendrait Ă rater le cocheâŻ:âŻÂ«âŻnous manquerions de sincĂ©ritĂ©, voire tromperions nos lecteurs et destinataires de lâĂ©valuationâŻÂ». Greene explique avoir souhaitĂ© au contraire dans cette Ă©valuation dĂ©fendre publiquement «âŻle pluralisme dĂ©mocratiqueâŻÂ» et veiller Ă ce que le dĂ©bat soit permanent en incluant des voix et perspectives multiples. Câest ici que rĂ©side pour Greene sa posture dâĂ©valuatrice «âŻengagĂ©eâŻÂ». Greene plaide ici pour que lâĂ©valuation offre des possibilitĂ©s de dialoguer entre les diverses parties prenantes sur les significations et les implications des rĂ©sultats et des affirmations de lâĂ©valuation. Tout en reconnaissant que la conduite de cette Ă©valuation a Ă©tĂ© trĂšs compliquĂ©e, le fait dâavoir Ă©tĂ© explicite sur lâengagement «âŻpluraliste et dĂ©mocratiqueâŻÂ» de lâĂ©quipe dâĂ©valuation a permis de produire des jugements justes et impartiaux non pas parce quâils Ă©taient objectifs, mais parce qu'ils reflĂ©taient des intĂ©rĂȘts multiples et notamment celui des Ă©tudiant·es.
Ajoutons ici que pour Greene, la dĂ©fense du pluralisme dans les Ă©valuations peut et doit se faire avant tout au service de ce que lâon entend le moins, et qui sont souvent les bĂ©nĂ©ficiaires, in fine, des politiques publiquesâŻ:
Les Ă©valuateurs doivent aujourd'hui faire des efforts particuliers pour rechercher et inclure les voix et les points de vue qui sont souvent nĂ©gligĂ©s ou exclus de la conversation Ă©valuative - parce qu'ils ne sont pas invitĂ©s, parce que leurs opinions sont impopulaires, ou parce qu'ils n'ont pas la langue ou la fluiditĂ© verbale nĂ©cessaires pour ĂȘtre entendus.
Cette position est depuis devenue largement partagée dans la communauté évaluative en Amérique du Nord, notamment à travers les travaux de Donna Mertens à qui nous donnions la parole dans une interview récente lors de son passage en France.
Greene, J. (1997) Evaluation as advocacy. Evaluation Practice, Volume: 18 issue: 1, page(s): 25-35 doi
Ce numĂ©ro 1 a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© par Adrien Flichy, Marc Tevini, Alexandra Williams et Thomas Delahais avec le soutien d'HĂ©lĂšne Faure. Relire le nÂș0. Pour vous abonner, cliquez ici (4 numĂ©ros par an).
Markus Palenberg est un Ă©valuateur, il travaille principalement dans le champ des programmes mondiaux de dĂ©veloppement international. Arne Paulson est un Ă©conomiste du dĂ©veloppement. Il a fait l'essentiel de sa carriĂšre dans des institutions internationales, dont la Banque mondiale. ↩
Olaf Rieper est un Ă©valuateur danois. ↩
Sebastian Lemire est un Ă©valuateur et chercheur danois, il travaille notamment sur les Ă©valuations basĂ©es sur la thĂ©orie. Christina Christie est une chercheuse amĂ©ricaine, elle travaille notamment sur la thĂ©orie Ă©valuative. Steffen Bohni Nielsen a longtemps Ă©tĂ© consultant en secteur public au Danemark, il officie maintenant en collectivitĂ©. ↩
R. Pablo Guerrero est le Directeur RĂ©seau de la Global Initiative for Fiscal Transparency. ↩
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